dimanche 5 décembre 2010

Challenge nécrophile : en 2011, je me tape des auteurs morts...

Ce soir, je vous annonce mon inscription à mon tout premier challenge de blogueuse!
Un challenge, c'est quoi? C'est un défi de lecture, lancé par un/une blogueur/se, avec quelques contraintes, à réaliser en un temps imparti.

Jusqu'à maintenant, je ne m'étais jamais senti l'âme d'une lectrice vraiment acharnée, et lire sous contraintes ne m'a jamais trop amusée (dit celle qui maintenant impose avec sadisme une tonne de livres à ses élèves! Niark, niark!).
Cela dit, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis et j'ai d'abord testé ma capacité à lire avec une contrainte de temps, grâce à la chaîne "Quand les livres ont des elles", proposée par ma copine Eloah, et suivie par mes autres copines Dan, Gio, Rafafa et Henriette.


Mais lorque j'ai vu, sur Mille et une pages, le blog de ma copine Stéphie, et chez Alwenn, sur Fabula Bovarya, l'intitulé de ce challenge, j'ai éclaté de rire et je me suis dit que s'il y avait un challenge à ne pas rater, c'était celui-là!

Jugez plutôt : sur Happy Few, (blog dont Stéphie m'a parlé quelquefois mais que je n'étais jamais allée voir), Fashion nous propose le



Oui, oui, vous avez bien lu!
Principe de ce challenge : lire un maximum d'auteurs morts, dans toute l'année 2011.
Evidemment, il y a des contraintes (ben oui, sinon c'est pas drôle), sous formes de catégories. Il faut donc lire un maximum d'oeuvres d'auteurs morts, et au moins un dans chaque catégorie suivante :

  • - un auteur mort dans des circonstances particulières
  • - un auteur qui s'est suicidé
  • - un auteur mort avant ses trente-cinq ans
  • - un auteur enterré à Paris

Et comme elle est sympa, non seulement Fashion nous donne des noms pour nous aider, mais en plus, son challenge sera doté de prix : un prix pour celui qui aura réussi à lire le maximum d'oeuvres d'auteurs morts, et un prix pour celui qui aura réussi à lire au moins une oeuvre dans chaque catégorie.

Un challenge de la mort qui tue, en somme!

Désolée pour ce mauvais jeu de mots, je devrais m'autocensurer. En attendant, si le coeur vous en dit, rejoignez-nous et inscrivez-vous!

2 commentaires:

  1. Je trouve le titre de ce challenge hilarant! Très bonne idée!

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  2. Non, non, chez Fahion, on ne censure jamais. Donc lâche-toi my dear

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