lundi 24 novembre 2014

Une si petite flamme





Merde, merde, merde... 
Toutes les photos sont ratées. Toute la série. 
Mais c'est pas possible d'être un boulet pareil... y'a rien de compliqué, dans le fait de mettre le flash sur cet appareil photo. 
Je savais bien que je n'aurais pas dû le confier à n'importe qui. Il ne me paraissait pas trop manchot, pourtant, le cousin du père de... de qui déjà? 

Ah non, pas toutes, en fait... celle-là, là, avec la bougie... pardon, le cierge du baptême. Ca donne un joli effet. Mais ça n'a pas l'air d'avoir été fait exprès, hein, à voir le reste des clichés de ma carte mémoire!  

L'avantage? On ne voit que nos mains... et pas nos têtes. Heureusement, car quelques instants auparavant, nous avions les larmes aux yeux. Et ce n'était pas l'émotion, non... le parrain et la marraine qui répriment (à peine) un fou-rire devant l'air solennel du prêtre qui tente tant bien que mal de te pencher la tête dans l'eau, ça ne fait pas très sérieux. 
Mais toi tu ne voulais pas, mon ange. Tu gigotais, tu chouinais... tu sentais bien qu'on allait te faire un truc pas cool. Déjà qu'on t'avait réveillée pour ça... tu n'allais quand même pas te laisser faire! 

Je revois les visages crispés de tes parents, qui nous fusillaient du regard. La cérémonie était un supplice qui devait leur faire regretter de m'avoir choisie comme marraine et Adrien comme parrain. Aux premières notes des chants religieux, je me suis demandé ce que je faisais là. A côté de moi, Adrien chantait atrocement faux. Premier fou-rire. 

Ont suivi les recommandations du prêtre, sur les responsabilités des parrain et marraine, qui doivent accompagner le nouveau baptisé dans sa vie spirituelle... bla, bla, bla... A ce moment-là, Adrien m'a soufflé "Sans blague? Il est sérieux? On l'emmènera en boite plutôt qu'à la messe". Deuxième fou-rire. 

Sur cette photo,  je tiens le cierge allumé par le prêtre, et Adrien doit faire de même en allumant la petite bougie, symbole de la lumière que nous transmettrons à notre filleule. Enfin il essaie... tout ne se passe décidément pas comme prévu. 

A la sortie de l'église, Myriam a fait un peu la gueule : "Bravo, tous les deux... on ne peut vraiment pas compter sur vous. Vous ne pouviez pas être sérieux deux minutes?". 
Mais au fond, elle sait qu'elle a fait le bon choix, pour sa fille. Personne ne pouvait mieux remplir ce rôle que sa meilleure amie et le frère de son homme. 

Ce soir, quand je suis allée te regarder dormir, j'ai su qu'elle avait raison. Il y a quelque chose, chez toi, ma princesse, qui me fait fondre. Je serai toujours là pour toi. Des soirées baby-sitting, tes parents peuvent m'en demander autant qu'ils veulent. 
Assise sur le canapé, l'ordi sur les genoux, je ne résiste pas. J'ouvre ma boite mail, je copie la photo et tape ces mots pour Adrien : "Finalement, on n'aura pas tout raté. Elle est sympa cette photo. Je garde notre filleule ce soir. Elle dort et elle est trop belle". 
A peine ai-je le temps de souffler sur mon thé, qu'une réponse me parvient. "Génial. Je peux venir?"





Comment ne pas écrire quelque chose de triste, à partir d'une photo aussi sublime? Ce fut difficile, mais l'idée a fait son chemin.
Voici de quoi honorer ma vingtième participation à l'atelier de Leiloona!!!!!!

lundi 17 novembre 2014

La méprise (Une photo, quelques mots, 19)




"J'me casse, j'en ai ma claque, plein mon sac
Près d'la porte, prêt à sortir, à bondir. 
Loin des regards suspicieux et des gens pas heureux
La rame est bondée, pourtant le siège à coté est inoccupé
Mon jean troué vous rend méfiants, moi j'suis bien dedans, c'est vous qui êtes chiants
A trimballer vos préjugés, vos idées reçues
J'viens forcément de la cité, peut-être même que je vis dans la rue

Voilà pourquoi j'me casse, j'en ai ma claque, plein mon sac
Je me tire d'ici, adieu Paris et ton ciel gris
J'veux ma part du gâteau, loin du métro, boulot, dodo
J'rêve d'une place au soleil, d'être un jour pété d'oseille..."

Soudain, une main se pose sur mon épaule. Je me retourne.
La dame assise derrière moi semble vouloir me parler. 
Je retire mes écouteurs, elle hésite : 
"- Pardon... jeune homme... pourriez-vous, baisser... un peu... le son de votre.... euh... allons, comment dit-on, euh... rap?"  
Je me marre tout seul :
"- Madame, ce n'est pas du rap, c'est du slam. Je vous fais écouter?"

Voici ma participation à l'atelier de Leil. Mille excuses aux participants de la semaine dernière, que je n'ai pas eu le temps d'aller visiter, avec la semaine de folie que je viens de passer.

lundi 10 novembre 2014

Comme des étrangers (Une photo, quelques mots, 18)




                                                              © Romaric Cazaux



-          Ils sont là… Tu y vas ?
-          Pas question. C’est ton tour, cette semaine.

Je soupire, reprends une grande respiration avant de me diriger vers eux.
Ils ne me voient pas, absorbés qu’ils sont par leur observation minutieuse de la carte qu’ils connaissent pourtant par cœur.
Je n’ai pas besoin de papier ni de crayon. Je connais déjà leur commande. Le poisson du jour pour elle, le tournedos pour lui. Elle ne finira pas son assiette, la repoussant d’une main, une moue de dégoût sur ses lèvres. Il dira, au moment où on viendra débarrasser leurs assiettes, que la viande était moins tendre, trop cuite, que sais-je encore… C’est comme ça depuis des années. Pourtant, ils sont encore là.
Une sorte de rituel : chaque dimanche, la même table, les mêmes plats.
Peut-être est-ce le restaurant de leur premier rendez-vous ? là où il l'a demandée en mariage ?
Peut-être un jour se sont-ils souri, parlé, touché, embrassé, là, à cette table…
Aujourd’hui ils ne se parlent plus, ils ne se sourient plus, ils ne se regardent même plus. Ils se planquent derrière cette immense carte, pour donner le change.


Pas forcément très inspirée, cette semaine, par la photo de l'atelier de Leiloona. Mais l'important, c'est de participer!

samedi 8 novembre 2014

Exposition Sade, attaquer le soleil

Le Musée d'Orsay présente en ce moment une exposition sur l’œuvre du Marquis de Sade, et son influence sur ses contemporains, ainsi que sur le monde de l'art en général.





Avec une vidéo de promotion qui a marqué les esprits, et une collection vertigineuse d’œuvres d'art présentées, cette exposition devient quasi incontournable.  









L'exposition commence par quelques extraits vidéos de films tirés des œuvres de Sade : un avant goût très explicite de ce qui attend le visiteur. 

Quelques panneaux présentent une biographie de Sade, où l'on apprend comment il a été mêlé à plusieurs "affaires" concernant des jeunes femmes, dans plusieurs villes, comment il a été jugé, et où l'on constate que l'homme a passé une grande partie de sa vie enfermé. 

Ensuite, plusieurs regroupements sont opérés, au gré d'une citation de Sade, illustrée par des œuvres de ses contemporains essentiellement, mais également plusieurs œuvres antiques ou postérieures. 
Le but n'est visiblement pas uniquement de montrer comment le divin marquis a bouleversé l'art en général mais également de prouver que ce qui inspire Sade est présent dans l'art depuis des siècles et des siècles. 

Sont évoqués tour à tour la cruauté, l'athéisme de Sade, le lien établi entre souffrance et désir, et peu à peu, plus le visiteur contemple d’œuvres, plus il a le sentiment que la représentation du corps est bouleversé, la nudité s'érotise, il y a clairement un avant et un après Sade.
Côté artistique, tout y passe : scène de viol, de torture, de martyr, scènes érotiques, scènes de guerre... C'est sûr ce point-là que j'ai du mal à suivre le lien qui a été fait entre l’œuvre de Sade, et ce genre de tableaux.

Il faut à mon avis attendre le XXe siècle et notamment les surréalistes pour comprendre comment Sade a révolutionné les pensées, et comment les surréalistes se sont littéralement approprié le personnage et son travail. A travers des tableaux de Ernst, Picasso, Dali, des photos de Man Ray, des illustrations de Valentine Hugo, on comprend comment les surréalistes ont pris appui sur Sade pour mener à bien leur projet de liberté absolue. 
Ajoutez à cela les dessins de Masson qui ont servi à illustrer les œuvres de Sade, et vous avez un panorama assez complet de la violence qui se dégage de cette collection. 

La femme est évidemment au cœur de l'exposition, par diverses représentations alliant sensualité, érotisme, et férocité. J'ai été particulièrement surprise de trouver une copie d'une lettre manuscrite de la femme de Sade, adressée au marquis... Je ne savais pas qu'il était marié, et je me surprends à me demander qu'elle a été réellement la vie de cette femme dont le mari avait un penchant sans limite pour le sexe.

On peut toutefois regretter que l'accent n'est pas été davantage mis sur l’œuvre de Sade en elle-même, car, mis à part les citations (plutôt courtes) affichées et les éditions anciennes de ses ouvrages présentés sous vitrines, on peut considérer que les écrits de Sade n'ont pas été assez exploités. 

Il s'agit donc davantage d'une très belle rétrospective d'histoire de l'art, parfaitement orchestrée, qu'une exposition consacrée à Sade.

jeudi 6 novembre 2014

Verrines aux couleurs automnales


Premier Novembre, retour de la pluie, anniversaire en famille et verrines qui réchauffent l'atmosphère. 


Verrines de betteraves
- 3 ou 4 betteraves 
- crème frâiche 
- piment d'Espelette


Si elles ne le sont pas déjà, cuisez et épluchez les betteraves, avant de les mixer. 
Ajoutez la crème fraîche pour obtenir une purée lisse et onctueuse, et le piment à hauteur de vos goûts. 
Répartissez dans les verrines, et décorez de graines de sésame. 


Verrines de carottes :
- une dizaine de carottes 
- échalote
- poitrine fumée
- un cube de bouillon de pot au feu
- épices

Faites revenir les carottes avec l'échalote, puis ajoutez la poitrine fumée. 
Ajoutez le cube de bouillon de pot au feu (dégraissé de préférence) et laissez cuire jusqu'à caramélisation des carottes. 
Mixez le tout, et ajoutez les épices : curry, cumin, curcuma, safran.
Répartissez dans les verrines, décorez d'une branche de persil ou d'une feuille de menthe.

Astuce : peut se réaliser aussi sans poitrine fumée (oubliée dans ces verrines) et c'est tout de même très bon.





                                            Bon appétit!

mardi 4 novembre 2014

Douce folie & Friend thérapie, Christy Saubesty

Sur les conseils de notre grande prêtresse du mardi coquin, Miss Stéphie herself, j'ai lu deux nouvelles de Christy Saubesty, sur liseuse. 



L'histoire : Dans Douce folie, Tonya se retrouve confrontée à une fuite d'eau sous son évier. Dominic, plombier de son état, va venir la dépanner... et plus parce qu'affinités. 

Dans Friend Thérapie, Agnès se lamente après une énième rupture. Elle est persuadée d'avoir un problème, et de de pas savoir s'y prendre avec les hommes. Soutenue par son ami gay, Elliot, et Matt, un collègue de boulot, Agnès se confie. Et Matt va lui proposer ses "services" pour remédier à ce qui semble un sacré blocage... 







Mon avis : Que d'altruisme, ma foi, que d'altruisme! 
Ah qu'ils sont sympas, ces mecs, de se dévouer pour rendre service à de belles jeunes femmes en détresse! 
La première nouvelle, plutôt courte, va droit au but. A peine entré dans sa cuisine, Dominic fait déjà beaucoup d'effet à Tonya, et inversement. La fuite d'eau réparée, le plombier n'est pas décidé à partir. 
On n'évite pas les clichés relou sur le thème de la fuite à colmater... "c'est une sacrée fuite, que vous avez-là" dit élégamment Dominic à Tonya, tout en lui enlevant sa culotte. Hem... bon, on s'y attendait, en même temps. 
L'ensemble est ma foi plutôt relevé (comme le jambes de Tonya, le plus souvent... ok, c'était facile) et ne s'embarrasse pas de sentiments. 
L'un fait tourner l'autre en bourrique, ça se cherche, ça se chamaille, et ça se réconcilie direct sous la couette. 
Enfin, sous la couette, pas exactement, car Tonya et Dominic pratiquent dans des endroits pas banals. 
Et Tonya n'est pas le genre coincée, timide et neuneu, qui découvre la vie. Ouf! 
Au final, ils ont le mérite de ne pas se prendre... la tête, et se contentent de bonnes parties de sexe sans se poser de question. Eh ben j'ai envie de dire "what else?"

Dans Friend Thérapie, on découvre Agnès, jeune femme plutôt sage qui pense qu'elle ne sait pas donner (ni prendre, d'ailleurs) du plaisir au lit. En effet, traumatisée petite par la vision de ses parents en pleine action, elle est persuadée que cela a créé chez elle un blocage. 
Alors là je me suis dit que j'étais retombée sur la pleurnicheuse coincée que les romans du genre savent si souvent nous fourguer. Et ce fut un peu le cas, car Agnès est choquée d'un rien, surtout par les propos de son ami Elliot. 
Lorsqu'Elliot propose à Agnès d'inviter Matt, un collègue, à leur prochaine soirée, Agnès est mortifiée. 
Pourtant, Matt s'avère très à l'aise, entre Elliot et ses remarques cash, et Agnès, ivre morte, et ne s'offusque pas le moins du monde des cochonneries qu'elle peut dire.
Au boulot, Matt suggère même à Agnès de l'aider à régler son problème. 
Agnès ne sait que répondre, faut dire que Matt est quand même beau gosse et gentil, avec ça. 
Une autre soirée s'organise, et cette fois Elliot s'éclipse... eh ouais... c'est ballot.
Matt va lentement se rapprocher d'Agnès, et l'initier tout en douceur à la recherche du plaisir. Et oh, miracle, là ça marche, du premier coup! Comme quoi hein... Agnès n'avait dû tomber que sur des branques... 
Dans cette nouvelle, j'ai aimé le trio formé par Elliot, Agnès et Matt. J'ai aimé les scènes entre Matt et Agnès, très bien décrites, et qui font monter lentement la température. 
J'ai moins aimé Agnès, parce qu'il y en a un peu marre des filles coincées du slip qui n'assument rien. 

Malgré tout, ces nouvelles m'ont fait passer un bon moment. C'est original, bien écrit, et bien pensé.

lundi 3 novembre 2014

En ton nom, (Une photo, quelques mots, 17)



Enfin te voilà... 
On te colle dans mes bras, comme si je savais quoi faire de toi, mais je vais surtout faire attention à pas te faire tomber, le temps que tout le monde prenne cette satanée photo... ils ont raison, parce qu'à mon âge, le temps est précieux. 
Mais j'ai tenu jusqu'à ton arrivée... non mais.
Des mois, des années que je t'attendais. 
Tu sais, chez nous, on était quatre garçons. Mes frères ont tous eu des fils, rien que des fils, qui ont tous eu des filles, rien que des filles... au grand désespoir de mon père qui se lamentait de voir son nom condamné à disparaître avec l'arrivée de toutes ces pisseuses! 
Chut, t'as rien entendu, hein... pis c'est pas un gros mot, ça, pisseuse, si? 
Moi, j'ai eu une fille qui a eu deux filles ; puis un fils... qui a eu des filles... encore deux filles (une vraie malédiction, j'te dis!) ... Une des deux est ta mère, t'as suivi? 
Tu t'en fous, de c'que j'te dis, pas vrai? 
Tu dois pas, surtout pas, mon bonhomme!
Parce que toi, t'es mon espoir, tu comprends? 

Ca rend ton arrière grand-mère dingue, que ton père et ta mère, y soient pas mariés. Au contraire, moi, ça m'arrange. Et ça me fait rire, de la voir enrager et ruminer que c'est pas chrétien. Toi, tu s'ras pas baptisé, c'est ça qu'est con... 

Quand j'ai su que tu serais un garçon, mon coeur a fait un bond. J'me suis tout de même méfié du prénom qu'ils allaient te trouver, mais j'me suis juré de lui demander, à ta mère, pour ton nom. 
Parce que faut pas croire, mais j'me tiens au courant de l'actualité!  Parait qu'maintenant, une femme, mariée ou pas, peut garder son nom de jeune fille. Enfin un ministre pas trop pèquenaud, qui a pondu une loi qui sert pas à rien. 
Et le mieux, tu sais c'que c'est, le mieux? 
C'est que toi, petit bonhomme, tu vas porter mon nom, notre nom... en seconde position, d'accord, on peut pas tout avoir... mais il s'ra là, quand même. 

Alors j'te fais une promesse, t'endors pas, écoute-moi... J'te jure que j'vais tout faire pour être encore là longtemps. Même que j'te promets qu'c'est moi qui t'apprendrais à l'écrire, ce nom. 
Et on s'ra fiers, nous deux, tu verras. 



17e participation à l'atelier de Leil : un texte pas du tout anodin pour moi, toute ressemblance avec une famille existante IRL n'est pas fortuite, à une génération près... 


samedi 1 novembre 2014

Moi après mois, my October





Une nouvelle coupe de cheveux / Sympathiser avec sa coiffeuse / Une soirée en mode tatie à plein temps / Se rattraper des jours sans lui et bouffer les joues de son neveu / Lire l'histoire de Zou la vache qui a tout de même un bien drôle de nom / Découvrir par tous les muscles de son corps le cours de renforcement musculaire à la salle de sport / Un week-end sans boulot, à marquer d'une pierre blanche / Les températures le matin ou comment comprendre que l'automne est bien là / Celui qui a été baptisé et même bien comme il faut / La cuisine portugaise, une tuerie / Bretagne vs Portugal, une affiche digne d'un match de foot, les supporters ont même chanté à fond / Les copines et les copains parisiens / "Je veux fêter ce renouveau", "Libérée, délivrée...", ma reine des neiges à moi / Tigrou sur une pièce montée, ils l'ont fait / Un film coup de poing / Comprendre l'utilité de sous titrer un film canadien / Mon sushiman préféré et sa terrifiante femme / L'exploit de ne pas se perdre dans Châtelet / Huit filles, un bar en happy hours, des mojitos dans lesquels y'a presque rien / L'invention du concept de la soirée fantôme... réfléchir à un brevet à déposer / Une exposition très... instructive / "Quand même, imagine, la femme de Sade, fallait qu'elle assure" / La fin de la saison 4 de Game of Thrones / La reprise de l'atelier théâtre et euh... au secours / Des mercredis entre filles / Douces journées d'Octobre, 25 degrés, t-shirt, terrasse et lunettes de soleil / Arrow saison 3, Homeland et Once upon a time, saisons 4 : c'est aussi la rentrée des séries / Merlin l'enchanteur avec Simon, le retour des matins DVD / Une balade en forêt et les premières poëlées de cèpes / Quand regarder "Danse avec les stars" avec ma Fabienne amène une révélation : "Tu ne lis pas assez Voici, toi!" / "Attention tatie, y'a une marche" / La découverte d'un restau à tomber : ça change du foie gras et du confit de canard / Une aprem entre meilleures amies / Prendre de plus en plus de plaisir à écrire pour l'atelier du lundi / Penser à ses premiers cadeaux de Noël, ça c'est fait / Faire une razzia chez Lindt... / Trépigner d'impatience à l'idée de reprendre le chant / Huit spectacles réservés au centre culturel, entre musique, théâtre et danse / Elle arrive quand, la paye? / Opération zéro copie pendant les vacances : objectif presque atteint / Commencer à penser qu'il faudrait envisager d'essayer de se mettre à bosser sur la nouvelle oeuvre des TL / Détester ce putain de changement d'heure... / Quand quatre de mes sept enfants adoptifs viennent goûter chez moi / Une journée shopping en famille / Les cours de TL ou la lecture de Cosmo et Causette? Cruel dilemme / Un dernier thé en terrasse / Des préparatifs d'anniversaire, verrines et repas pour onze / 1982, moi j'avais deux ans... j'veux pas dire, mais certains en avaient 15, comment ça calme / Un adorable bébé qui a des peluches aux noms bizarres.  


C'était ma participation au Moi après mois, sur une idée de Moka.